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LES TROIS SECRETS D'ALEXANDRA

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Auteur : Didier Daeninckx  Illustrateur : Pef

Lecture-spectacle par Valérie Barral & Thierry Paillard

LECTURES THÉÂTRALISÉES avec PROJECTION Des IMAGES de la B.D.

« Les trois secrets d’Alexandra » relatent des événements dramatiques de la Seconde Guerre mondiale. Une œuvre de transmission qui évoque, sans pathos, la résistance populaire dans sa dimension nationale et internationale.

 

Ces trois albums jeunesse sont lus et mis en espace avec la projection des illustrations de Pef, ainsi que les photos en vignettes historiques qui apparaissent dans les albums.

 

L'auteur, Didier Daeninckx, soutient ce travail avec enthousiasme.

 

Ces lectures théâtrales s’adressent à tous les publics, mais plus particulièrement aux publics scolaires à partir des classes de CM2.

Présentation

résumé

IL FAUT DÉSOBÉIR : LA FRANCE SOUS VICHY.

 

Didier Daeninckx évoque un moment particulièrement sombre de l’histoire de France, celle de l’Occupation et du régime de Vichy.

L’album évoque particulièrement les Justes qui grâce à leur action ont pu sauver des personnes de confession juives.

Alexandra a une dizaine d’années et n’a jamais entendu parler ses grands-parents sur cette période particulièrement douloureuse.

Le grand-père va cependant s’y employer, évoquant l’Etoile jaune, les rafles et les collaborateurs. Il va surtout raconté à sa petite-fille, l’histoire de Pierre, inspecteur de police, qui soixante ans plus tôt a refusé d’obéir et qui a permis de les sauver.

 

Un court récit poignant et surtout empli d’espoir. Ponctué de vignette retraçant cette période, cet ouvrage particulièrement pédagogique soulève nombres de débats.

La comédienne et le comédien sont au micro de chaque côté de l’image projetée, et prennent en jeu les personnages de la bande dessinée. Pour cette première histoire, les images sont les illustrations de Pef.

UN VIOLON DANS LA NUIT : LA DÉPORTATION.

 

Après "Il faut désobéir" qui évoquait le régime de Vichy et la collaboration, Didier Daeninckx et Pef se proposent de parler aux enfants des camps de concentration et de la déportation.

Alexandra passe le week-end chez sa tante Esther. Musicienne, Esther à abandonner depuis longtemps le violon pour le piano. Le matin, au moment de la toilette, Alexandra demande à sa tante de l’aider à se faire un tatouage de papillon avec un papier spécial. Ce geste résonne étrangement et Esther refuse. Elle présente à la jeune fille son propre tatouage, celui qu’on lui a fait à l’arrivée au camp d’Auschwitz. Avec des mots simples et avec retenue, Esther raconte l’inexplicable et la terrible vie concentrationnaire (et comment la musique lui a permit de tenir).

 

La comédienne et le comédien sont toujours au micro de chaque côté de l’image projetée, et prennent toujours en jeu les personnages de la bande dessinée. Pour cette seconde histoire, les images sont les illustrations de Pef et les photos marquantes de cette période de l’Histoire. Les comédiens transforment leur voix lorsqu’ils lisent les légendes des photos.

VIVA LA LIBERTÉ ! : LA RÉSISTANCE.

 

Après "Il faut désobéir" et "Un violon dans la nuit" sur les camps et la déportation, ce troisième et dernier volet de la série "Les trois secrets d'Alexandra", "Viva la Liberté" parle aux enfants de la Résistance et de la Libération.

Alexandra accompagne Maurice son arrière-grand-père à un match de football dans la tribune d'honneur du Red Star. Elle va entendre le troisième secret de sa famille. Gardien de but dans l'équipe du Red Star durant la guerre, son pépère lui évoque son passé et raconte l'histoire de son coéquipier et ami Rino Della Negra. Rino appartenait au groupe Manuchian, un groupe de jeunes immigrés résistants. Il lui explique comment il fallait échapper aux contrôles de police, les actions qu'ils ont mené, les horreurs, la torture, les risques pris par les résistants, l'arrestation et la fin du groupe. Comme dans les précédents ouvrages, l'album s'est inspiré de personnages qui ont vraiment existé. Des photos et des documents d'époque commentés apparaissent dans des vignettes en noirs et blancs.

 

Pour cette troisième et dernière histoire, le déroulement est le même que pour les deux précédentes, mais un acteur nouveau entre en scène : il s’agit du poste radio qui "émet" des informations de cette époque ou des slogans envoyés par la résistance (contenus dans les légendes des vignettes de la BD. Les images sont les illustrations de Pef et les photos marquantes de cette période de l’Histoire). Les comédiens transforment leur voix lorsqu’ils lisent les légendes des photos.

 

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